En Europe, plus de 16.000 voitures GNV ont été immatriculées au premier trimestre
Publiant son traditionnel bilan trimestriel de l’activité automobile, l’ACEA dénombre plus de 16.000 voitures au gaz naturel immatriculées au cours du premier trimestre 2020.
Malgré la mise en place des premières mesures de confinement en mars et la crise qui impacte l'ensemble du secteur automobile, la voiture GNV s'en tire plutôt bien. Avec 16.203 immatriculations enregistrées, le segment bondit de 69,6 % par rapport au 1er trimestre 2019. Si l’on compare au trimestre précédent, la tendance est inverse avec un recul de l’ordre de 22 %. Une situation qui s'explique de deux façons. Il y a d'une part le confinement qui a freiné les livraisons sur une bonne partie du mois de mars, notamment sur le marché italien. Ensuite, il y a le renouvellement de certains modèles phares du groupe Volkswagen (Seat Leon, Volkswagen Golf ou Skoda Octavia) qui entraine des arrêts temporaires de production, les versions gaz arrivant en règle générale après les motorisations essence et diesel.
Classée seconde, l’Allemagne totalise 2137 immatriculations, soit plus du double par rapport à l’an dernier (976). Avec 1354 exemplaires immatriculés, l’Espagne complète le podium, suivie de près par la Suède qui boucle le trimestre avec 1097 immatriculations. A quasi égalité, la Belgique et la Finlande occupent la 5ème et la 6ème place du classement avec respectivement 772 et 735 unités écoulées.
Loin derrière, la France se contente de 78 immatriculations, soit trois fois plus qu’au premier trimestre 2019.
Malgré la mise en place des premières mesures de confinement en mars et la crise qui impacte l'ensemble du secteur automobile, la voiture GNV s'en tire plutôt bien. Avec 16.203 immatriculations enregistrées, le segment bondit de 69,6 % par rapport au 1er trimestre 2019. Si l’on compare au trimestre précédent, la tendance est inverse avec un recul de l’ordre de 22 %. Une situation qui s'explique de deux façons. Il y a d'une part le confinement qui a freiné les livraisons sur une bonne partie du mois de mars, notamment sur le marché italien. Ensuite, il y a le renouvellement de certains modèles phares du groupe Volkswagen (Seat Leon, Volkswagen Golf ou Skoda Octavia) qui entraine des arrêts temporaires de production, les versions gaz arrivant en règle générale après les motorisations essence et diesel.
L’Italie et l’Allemagne en tête
Représentant plus de 50 % de l'ensemble des immatriculations européennes, l’Italie arrive largement en tête avec plus de 8438 unités écoulées, soit une progression de 30 % par rapport au 1er trimestre 2019.Classée seconde, l’Allemagne totalise 2137 immatriculations, soit plus du double par rapport à l’an dernier (976). Avec 1354 exemplaires immatriculés, l’Espagne complète le podium, suivie de près par la Suède qui boucle le trimestre avec 1097 immatriculations. A quasi égalité, la Belgique et la Finlande occupent la 5ème et la 6ème place du classement avec respectivement 772 et 735 unités écoulées.
Loin derrière, la France se contente de 78 immatriculations, soit trois fois plus qu’au premier trimestre 2019.
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Article très intéressant.
On verra si demain, 26/05/2020, le Président Macron mettra en avant cette énergie lors de ces annonces pour le secteur de l’automobile.
Espérons des primes à la reconversion pour le GNV également.
Il est grand temps de développer le maillage de station Gaz en parallèle de l’électrique.
Voir la France en douzième position c’est quand même pas banal je trouve.
L’explication vient peut-être du fait qu’une majorité de gens attendent une incitation financière comme c’est le cas pour les véhicules électriques. La culture de l’assistanat est passée par là.
Personnellement je n’ai pas attendu la bénédiction du Chef de l’Etat pour franchir le pas, je considère que le prix au kg suffit à justifier mon choix, dans la mesure où, le GNV s’inscrit dans un modèle économique viable par nature, et qu’il apporte une réponse concrète aux problèmes environnementaux liés au transport individuel.